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Tomber amoureux d’une escort (témoignage de Luc)
Peut-on rêver de romantisme dans le monde de l’escorting ? Non, me direz-vous. Seulement, il arrive que le destin vous sourie. Voici le témoignage de Luc, trentenaire et chef d’entreprise Genevois qui est tombé sous le charme de son escorte.
“C’est sous la recommandation de mes amis, adeptes d’un site d’escorte de renom que je me suis inscrit sur le site. Au début, je me suis lancé juste pour le goût de l’inconnu tout en redoutant la sécurité du processus. Je voulais surtout rechercher de la compagnie et le côté physique n’était qu’un plus. J’ai parcouru certains profils intéressants de jeunes femmes aux charmes aguichants. Puis, je suis tombé sur elle, Marie, 23 ans. Sa photo était toute simple, mais captivante. Un sourire en coin, des yeux verts perçants, des cheveux d’ambre tombant sur ses épaules blanches délicates, le dos au mur, ses longues jambes moulées d’un jean délavé, elle respirait la fraîcheur. Je lui ai tout de suite envoyé un message signalant mon intérêt purement platonique initialement. Coup du sort peut-être, elle a instantanément répondu. Rendez-vous fût donc pris une semaine plus tard pour notre première rencontre dans un bar réputé de la ville.”
Le jour J, j’étais en retard d’une demi-heure en raison d’une réunion de dernière minute au bureau, mais elle était là, devant deux verres de gin et tout sourire en m’accueillant.
Elle était tout ce que sa photo promettait, attentionnée, vive d’esprit et naturellement belle. À mon grand étonnement, l’heure promise s’était vite écoulée. On s’était donc quitté amicalement en se promettant un autre rendez-vous le samedi suivant.
Les rendez-vous se sont alors enchaînés, plus excitants et plus passionnants que les précédents, sans pourtant aller plus loin qu’un baiser passionné pour terminer chaque soirée. Je me suis mis à attendre avec impatience chaque sortie. Entre virées en boîte, dîners aux chandelles ou escapade aux environs de la ville, je me sentais de plus en plus subjugué par sa personnalité. J’ai notamment appris qu’elle faisait ce métier par contrainte, pour se payer des études d’art plastique et devenir galeriste.
Et puis, trois mois après notre rencontre, je luis ai proposé de partir en voyage avec moi. Il s’agissait d’un voyage d’affaires aux Seychelles pour ma boîte, mais pourquoi ne pas allier plaisir et devoir ? Le voyage a été paradisiaque.
Alors qu’on se promenait sur la plage de sable fin aux eaux claires, ébloui par son sourire éclatant et son corps de rêve, je lui ai dit que je l’aimais et que j’étais prêt à la soutenir dans ses études si elle démissionnait pour être avec moi. Comme réponse, elle s’était jetée dans mes bras, le sourire plus éclatant que jamais.”